LA NUIT

« Dans les draps que l’amour referme sur la vie
Tous les amants du monde mêlent aux cris d’amour »

Dans les les draps que l’amour referme sur la vie
Tous les amants du monde mêlent aux cris d’amour
Les sanglots de la nuit
Les sanglots de la nuit

Vers toi comme un enfant qui tend les bras
Je suis pour toi
Comme ta vie profonde

Dans les draps que l’amour referme sur la vie
Tous les amants du monde mêlent aux cris d’amour
Les sanglots de la nuit

Vers toi comme un jardin qui défleurit
Je suis ta vie
Et tu n’est que mon ombre

Je viens de là-bas, très loin, derrière un crépuscule insolent
Et qui prenait pour le soleil, sans blague…
Tu viens souvent ici mademoiselle ?
Et toi comment t’appelles- tu ?
Je voyais des enfants dans le coin de la vie
Et qui cherchaient l’oubli, déjà, comme un oracle
Je voyais ton printemps, petit, s’épanouir
Et reprendre l’amour par la main comme une arme …
Je voyais ton jardin à toi petite fille
Ton semblant qui, des fois, te mettait à mes ordres…; Ah!
Et puis, vas-y… L’amour ca se dégrade.