La direction de ce laboratoire expérimental a été définie à partir du podcast « S’échapper du monde », dans lequel des femmes témoignent de leur expérience face à la solitude,
isolées du monde.
À partir de contraintes imposées, il m’est demandé de traduire cette solitude-plénitude à partir de compositions photo-typo-graphiques.

Cette édition amène le lecteur dans un récit où la solitude-plénitude est incarnée par une poésie visuelle. Ces cinq doubles pages non-assemblées proposent plusieurs possibilités de lecture, combinant les photographies et les gammes colorimétriques différemment. Chacun peut s’approprier l’expérience à sa manière.